La région crânienne se décompose en 8 sous-régions : occipitale, métopique, frontale, sourcilière, des bosses frontales, de la dépression fronto-nasale (stop), temporale, et zygomatique. Sa longueur chez le cane corso correspond à 6,60/10 de la longueur totale de la tête, la largeur du crâne doit être égale à sa longueur, le crâne carré est une des caractéristiques fondamentales dans la typicité de la race. Le crâne est large et légèrement arqué vu de face, de profil il dessine une courbe irrégulière accentuée dans la sous-région frontale et s’aplatît le long de la crête sagittale externe. Vu de dessus il est de forme carrée due à des arcades zygomatiques et des masséters saillants.
1 Occipitale : La protubérance occipitale pas très visible chez le cane corso.
2 Métopique : Évidente chez le Cane Corso (car brachycéphale).
3 Frontale : Vue de face et de profil, elle peut se présenter différemment, son évaluer les bosses frontales auxquels ont attribut une fonction de protection et olfactive (quelle n'a pas). Toujours en fonction de la race, les rides doivent être modérément permanentes chez le cane corso.
4 Sourcilière : Élément distinctif, le juge évalue la longueur du sourcil en fonction de la race, légèrement marqués chez le cane corso.
5 Bosses frontale : On parle là d'une dépression très accentuée, toujours visible chez le cane corso formant un sillon frontal médian nettement visible. Les bosses frontales sont considérées comme élément distinctifs de la race, elles doivent être saillantes en avant.
6 Dépression fronto-nasale : C'est elle qui donne en partie l'expression de type, l'entité de la dépression défini les axes longitudinaux cranio-faciaux. Elle est donnée par la convergence des axes longitudinaux supérieurs du crane et du chanfrein et elle est mise en valeur par le développement du sillon frontal médian, les arcades sourcilières et les os des bosses frontales saillantes.
Quand la dépression fronto-nasale ou stop est marquée elle devient facilement évaluable à l'oeil nu, il faut observer la tête de profil et calculer l'angle sinuso-nasale (formé par le croisement de l'axe supérieur longitudinal du chanfrein avec celui des bosses frontales) idéalement à 105°.
Toutefois une correcte et précise détermination du stop, peut uniquement se faire qu'en déterminant l'angle cranio-facial (formé par le croisement de l'axe longitudinal supérieur du chanfrein avec celui qui passe par le sillon médian. Ce sillon part de la dépression fronto-nasal et tend à s'effacer vers la moitié du crâne, divisant ainsi sagittalement les deux bosses frontales à proximité du point crâniométrique appelé "BREGMA"). Chez le cane corso cet angle cranio-facial doit être de 130°. Contrairement aux idées reçues vous aurez compris que cet angle cranio-facial est très complexe à déterminé et ne peut se définir que par observation radiographique du crâne (pour un exemplaire vivant).
Certains exemplaires ayant un angle sinuso-nasal correct de 105 à 110°, peuvent néanmoins et à cause de bosses frontales trop développées (dans les 3 dimensions), un sillon médian trop prononcé, ce qui donne l'illusion d'un stop parfait mais un angle cranio-facial inférieur à 130° (une des principales caractéristiques de l'hypertypicité). Telles déviations comportant des angles cranio-faciaux anormaux doivent être scrupuleusement combattu.
Quand la dépression fronto-nasale ou stop est marquée elle devient facilement évaluable à l'oeil nu, il faut observer la tête de profil et calculer l'angle sinuso-nasale (formé par le croisement de l'axe supérieur longitudinal du chanfrein avec celui des bosses frontales) idéalement à 105°.
Toutefois une correcte et précise détermination du stop, peut uniquement se faire qu'en déterminant l'angle cranio-facial (formé par le croisement de l'axe longitudinal supérieur du chanfrein avec celui qui passe par le sillon médian. Ce sillon part de la dépression fronto-nasal et tend à s'effacer vers la moitié du crâne, divisant ainsi sagittalement les deux bosses frontales à proximité du point crâniométrique appelé "BREGMA"). Chez le cane corso cet angle cranio-facial doit être de 130°. Contrairement aux idées reçues vous aurez compris que cet angle cranio-facial est très complexe à déterminé et ne peut se définir que par observation radiographique du crâne (pour un exemplaire vivant).
Certains exemplaires ayant un angle sinuso-nasal correct de 105 à 110°, peuvent néanmoins et à cause de bosses frontales trop développées (dans les 3 dimensions), un sillon médian trop prononcé, ce qui donne l'illusion d'un stop parfait mais un angle cranio-facial inférieur à 130° (une des principales caractéristiques de l'hypertypicité). Telles déviations comportant des angles cranio-faciaux anormaux doivent être scrupuleusement combattu.
7 Temporale : C'est à cette sous-région que sont attaché les pavillons auriculaires, donc prise en considération comme étant les base (plus ou moins large, ou plus ou moins latérale), la longueur et le port d'oreille.
8 Zygomatique : L'évaluation de la largeur est très importante pour un chien de prise tel que le cane corso.
Chez le cane corso un crâne excessivement plat est dû à une trop grande proéminence de l'apophyse occipitale et/ou de la crête sagittale) observé chez des exemplaires ayants des axes cranio-faciaux parallèles et divergents). Dans ce cas le muscle temporale est hyper-développé aussi bien latéralement que dans sa hauteur, qu'il a inhibé le bon développement osseux du crâne, un tel crâne se présente enflé sur les côté, mais plat dans sa partie supérieur avec des bosses frontales et des arcades sourcilières plates.
Les crânes ronds (globuleux) propre à l'hyper-typicité, se présentent quand un exemplaire associe un développement osseux normal de la boîte crânienne avec des arcades zygomatiques et des temporaux hypertrophiés , le crâne se présente d'une manière pleine aux pariétaux, et les arques sourcilières s'incurvent, tandis que la légère dépression due au bosses frontales disparaît donnant à l'ensemble de la tête une expression atypique.
Des os exagérément apparents donnent une impression de tête osseuse, décharnée vieillissante, qui peut être due à une hypotrophie du temporal et des muscles de la tête d'une manière générale. 